Parulines & co. |
Jeudi 22 mai. Le lendemain matin, je rentre comme prévu sur Montréal en traversant à nouveau le parc de la Mauricie. Le temps est maussade, nettement plus couvert que la veille. Les averses seront au rendez-vous, entrecoupées heureusement de belles mais courtes éclaircies. Je me rappelle alors que Pierre Bannon m'avait dit que les parulines venaient se nourrir plus bas dans les arbres en temps de pluie et se laissaient mieux observer. La suite allait lui donner raison.Parulines tigrée, du Canada, à flancs marron, obscure, bleue, à tête cendrée et à gorge orangée sont au rendez-vous ! Je quitte le parc en début d'après-midi pour rentrer vers Montréal. En chemin, je fais une halte le long de l'autoroute à Saint-Barthélémy. Ces grandes zones inondées retiennent quelques oies des neiges et j'observe un bihoreau gris, des canards noirs, plusieurs goglus des prés en plumage nuptial et surtout plusieurs marmottes. En plaine, ça fait bizarre ! |